Opéra de Paris – Salomé, es-tu la ?

Une fois n’est pas coutume direction Bastille.
Je suis passé un nombre de fois, comment dire, beaucoup, énormément, souvent, enfin je suis passé la dans tous les sens et cette fois-ci ce n’est pas passé devant, c’est entrer et être dedans, petite différence.

Pas de gros gorille mal léché bardé d’équipement à l’entrée mais plutôt des personnes calmes et sobrement vétus, c’est chose sur nous sommes à l’Opéra pas chez macDo.

Certaines personnes sont habillées de tenue d’un autre temps quand d’autres sont plus sobres.

La sonnerie moderne, bien loin de la sonnette ou de la cloche, indique allez go allez vous assoir.

Une fois assis je regarde cet espace, cet énorme espace. Un grand volume dans lequel est planté une scène imposante.
Ce qui claque ce sont les angles toutes les salles est empli d’angles, les courbes ne sont pas dans le cahier des charges de l’architecte, un ancien de chez Citroên peut être.

Le spectacle commence, bien sur c’est en Allemand et mon vocabulaire en Allemand ne porte pas de nom, il est inexistant. Pour les non germanophone comme mes deux voisins, celui de droite était bien sympathique, il fallait aux choix lever la tête pour une traduction en Français, ou bien plisser les yeux pour lire au loin la traduction Anglais – Français.

La pièce, comment dire, était, bien. C’est à dire bien, avec des acteurs des costumes et de la musique et une belle lumière.

L’histoire est en soi assez simple et assez horrible.
Un homme, gouverneur à fait prisonnier dans ses geôles un homme qui annonce la venue d’un prophète.
Ce gouverneur à une femme qui a une fille Salomé. Cette petite Salomé échange avec le détenue et lui déclare son amour qui trouve en retour refus et mépris. Le gouverneur est libidineux et va avoir beaucoup de désir pour Salomé. Les faveurs que Salomé accorde à ce tétrarque la conduise à demander le tête du prisonnier. Salomé en possession de la tête, elle va l’embrasser à ce moment le gouverneur donne un ordre à ses gardes qui tuerons Salomé.

Sacré aventure n’est-ce pas ?

Maintenant la musique et le chant. Disons le j’ai écouté plusieurs opéra et je ne suis jamais emballé, c’est sans doute un style qui n’entre pas en résonance chez moi tout simplement.

La musique est interprétée par un large orchestre situé en contre-bas de la scène, ils sont les invisibles.
Quelle première fois !
Maintentant que la chose est faite j’aimerais beaucoup pour aller y voir une interprétation avec des danseurs, affaire à suivre.

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